Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Un nouveau combat

27/08/2009 16:51

Un nouveau combat


Depuis des années, la Bibliothèque Nationale, à l’initiative de Jean-Noël Jeanneney, a lancé la numérisation de l’ensemble de ses œuvres de manière indépendante du projet de Google.
Or aujourd’hui, cette voie prometteuse qui a fait des émules dans les pays qui souhaitent garder leur indépendance linguistique, est remise en cause. Je recommande à tous l’excellent plaidoyer de Jean-Noël Jeanneney, que vient de publier, mercredi 26 août, le Figaro*.
Cette question n’est pas anodine car l’indépendance culturelle et linguistique est fondamentale pour notre avenir de Nation libre.
Après la ratification malheureuse du Protocole de Londres qu’avait bloqué Jacques Chirac et que Nicolas Sarkozy a soumis au Parlement, il faut à tout prix éviter l’abandon de la voie originale qu’avait mis en place la Bibliothèque Nationale de France.
Comment demander en effet à nos amis francophones de continuer à parler le Français si notre pays y renonce ?
NDA

http://www.lefigaro.fr/debats/2009/08/27/01005-20090827ARTFIG00001-bnf-et-google-l-insupportable-tete-a-queue-.php






Relu récemment

25/08/2009 17:36

Relu récemment


Défis républicains  
de Jean-Pierre Chevènement
Editeur : Fayard 
Année : 9/2004  
Genres : essai politique
Broché
ISBN-10: 2213620822
ISBN-13: 978-2213620824

 " J’ai conçu ce livre de témoignage comme un filet marin : des nœuds, autant d’événements auxquels j’ai participé ou de grands dossiers que j’ai portés, mais aussi des fils courant de l’un à l’autre, restituant les problématiques d’ensemble dans lesquelles, pendant plus de trente ans, j’ai cru devoir inscrire mon action. Un récit sans langue de bois autant qu’une interprétation de l’histoire. J’ai choisi de m’exprimer à découvert, avec le souci d’être juste, autant que possible, en tout cas sincère, et dans le seul but de servir la France selon l’idée que je m’en fais... Pour une nouvelle donne mondiale, sa voix reste indispensable afin de faire émerger d’Europe une volonté politique par rapport aux États-Unis, non pas contre eux, mais indépendamment d’eux. Ce projet, aujourd’hui presque indicible, est le seul qui vaille, le seul qui mérite qu’on se batte, le seul qui nous redonne une perspective historique. " Jean-Pierre Chevènement.

Un livre incontournable riche en anecdotes, parsemé de riches analyses selon le style percutant propre à J.P. Chevnement.  

Biographie de l'auteur
Originaire de Belfort, fils d’instituteurs, Enarque, membre du Parti socialiste de 1964 à 1993,  Jean-Pierre Chevènement fut, sous la présidence de François Mitterrand, successivement ministre d’Etat chargé de la Recherche et de la Technologie , puis de l’Industrie, ministre de l’Education nationale, ministre de la Défense où il démissionna avec fracas puisqu’il était opposé à l’intervention française dans le Golfe arabo - persique. Il crée alors, en 1992, le Mouvement des Citoyens. Maire de Belfort depuis 1983, il fut ministre de l’Intérieur sous le gouvernement Jospin de juin 1997 à août 2000, et aura été candidat à la présidence de la République en 2002.
Avis : A lire avec délectation. Un regret : que Chevènement ne rejoigne pas nos rangs.





La situation militaire en Afghanistan se détériore

25/08/2009 16:21

La situation militaire en Afghanistan se détériore


Le chef d’état-major interarmes américain, l’amiral Mike Mullen, a jugé dimanche que la situation militaire en Afghanistan se détériorait, les insurgés taliban ayant amélioré leurs tactiques de combat.
"Je pense que (la situation) est sérieuse et se détériore. Je le dis depuis deux ans, je dis que les insurgés taliban ont adopté de meilleures tactiques de combat, plus perfectionnées", a-t-il déclaré sur la chaîne CNN.
Il a ajouté que le nouveau commandant des forces occidentales en Afghanistan, le général Stanley McChrystal, poursuivait son "état des lieux" sur le terrain.
"En fait nous n’avons toujours pas pris de décision sur l’envoi éventuel de renforts. Nous avons demandé, le secrétaire à la Défense et moi-même, (à McChrystal) de nous dire ce dont il avait besoin (...). Je peux vous assurer que jusqu’ici il n’a pas demandé de troupes supplémentaires", a expliqué l’amiral Mullen.
Le président Barack Obama a porté les effectifs des troupes américaines en Afghanistan à 62.000 hommes. Alors que les pertes sont en constante augmentation, l’opinion doute et l’impatience monte, selon les sondages.
En juillet, 44 "boys" ont été tués - un record mensuel depuis l’invasion de 2001 - et une majorité sans précédent d’Américains se déclarent hostiles à la guerre, tandis que seuls 41% la justifient, selon une étude CNN/Opinion Research Corp.
Les analystes s’accordent à donner encore un an à Obama pour faire la preuve de progrès en Afghanistan car, en novembre 2010, il affrontera les élections parlementaires de mi-mandat qui pourraient fournir aux Américains l’occasion de laisser éclater leur mécontentement.
L’Express, 23/08/09





L’alliance du vide

25/08/2009 16:15

L’alliance du vide


Une fois n’est pas coutume, je vais vous parler de la gauche. Non pas des idées ou du programme politique qu’elle est incapable de proposer à nos concitoyens, mais des petits calculs d’intérêts qui se font jour lorsque les élections approchent.
Regardons Vincent Peillon et ses amis d’hier et d’aujourd’hui. En effet, bien curieuse réunion de famille que celle de samedi dernier, où se sont succédés à la tribune, outre l’ancien porte-parole de Mme Royal : Christiane Taubira, Robert Hue, Daniel Cohn-Bendit et Marielle De-Sarnez ce qui, ramené à leur parti respectif, nous donne la gauche radicale, les communistes, les Verts et les démocrates chrétiens derrière le micro tendu par un socialiste.
Tout ça pour nous dire quoi ? Que les problèmes des français ne sont pas encore inscrits à leur ordre du jour, bien évidemment. Pas un mot sur la nécessaire réforme de l’Etat, sur le déficit colossal de notre régime social, sur les délocalisations et leurs conséquences désastreuses tant sur le plan humain qu’économique, sur la taxe carbone, la montée du chômage… toutes ces problématiques qui, pourtant, appellent des réponses urgentes.
Alors, bien sûr il y a l’alliance, l’indispensable alliance, le grand rassemblement de la gauche et du Modem en vue de battre l’UMP aux prochaines élections régionales et présidentielles.
Mais un rassemblement pour faire quoi ? Pour jouer à l’opposition lorsque les conséquences des textes votés avec empressement à Bruxelles se feront sentir ? Rappelons que dans 90 % des cas, les eurodéputés UMP, PS et Modem votent les mêmes textes, ces textes qui régissent ensuite notre quotidien et sur lesquels ces mêmes partis se chamaillent sur les plateaux télé nationaux. Curieuse farce démocratique que cette comédie d’opposition destinée uniquement à nourrir les principaux acteurs.
Aussi, ne soyons pas dupes et ne cherchons pas de débat d’idées là où il n’y a que des phrases toutes faites et une quête effrénée d’intérêts purement électoralistes. Gageons que nos concitoyens ne serviront une fois de plus que de variable d’ajustement à de petits calculs bien mathématiques.
Mais, les françaises et les français attendent légitimement autre chose de la politique. Il ne tient qu’à nous de répondre à cet appel et de représenter cette alternative dont notre pays a tant besoin. C’est pourquoi, au vide programmatique, opposons l’espoir apporté par un projet républicain ambitieux et cohérent !
NDA





Présidentielles Afghanes : le rendez-vous manqué avec la démocratie

24/08/2009 17:56

Présidentielles Afghanes : le rendez-vous manqué avec la démocratie


L’ampleur des fraudes pèsera sur la présidentielle afghane

Malgré la présence de milliers d’observateurs, l’ampleur des irrégularités qui entachent les scrutins présidentiel et provinciaux reste encore mal connue
Fausses cartes d’électeur, bourrages d’urnes, vote sous la menace…, dès samedi 22 août, deux jours après les élections afghanes, les observateurs de la Fondation pour des élections libres et justes en Afghanistan (Fefa) rapportaient des fraudes dont l’ampleur menace la crédibilité des élections présidentielle et provinciales. Indépendante du pouvoir, la Fefa avait dépêché près de 7 000 observateurs envoyés dans les 6 200 bureaux de vote ouverts dans le pays, afin de contrôler la validité d’un scrutin organisé tant bien que mal, compte tenu des problèmes de sécurité.
Président de la Fefa, Ahmad Nader Naderi (lire ci-contre) a révélé que des centaines de bureaux de vote sont restés fermés. Encore mal estimée, l’ampleur des fraudes pèse sur la crédibilité du scrutin de jeudi, loin du succès des premières élections afghanes de 2004. Ajoutées au faible taux de participation, ces irrégularités nourriront à coup sûr une contestation des résultats, avant même leur annonce le 3 septembre.
Qui est responsable de ces incidents ?
 Chargée d’organiser le scrutin, la commission électorale afghane assurait pourtant avoir tout préparé. À la veille du vote, elle annonçait avoir mobilisé plus de 230 000 observateurs pour s’assurer du bon déroulement des élections. Leur mandat : contrôler la validité des élections et rapporter toute irrégularité. Problème : ce chiffre englobe l’ensemble des assesseurs électoraux membres des partis politiques, sans aucune garantie d’indépendance. En réalité, près de 7 400 examinateurs présents jeudi dans les bureaux de vote pouvaient seulement être qualifiés d’indépendants. Outre les délégués afghans de la Fefa, 400 observateurs internationaux étaient présents.
La mission d’observation européenne était la plus fournie
Avec 120 membres, la mission d’observation européenne était la plus fournie, sous la direction du Français Philippe Morillon, ancien député européen. Pour l’ancien commandant des forces de l’ONU en Bosnie en 1992 et 1993, les élections sont « une victoire du peuple afghan », mais n’ont « pas été libres dans certaines parties du pays en raison de la terreur ». La mission d’observation des élections de l’Union européenne (EUEOM) a ainsi rapporté « un nombre important de violents incidents, dont des attaques au mortier contre les bureaux de vote ».
De son côté, l’association américaine Democracy International avait 60 agents d’observation sur place, sous la direction de l’ancien représentant américain du Wisconsin Jim Moody. Dans son premier rapport, l’organisation estime qu’« il est trop tôt pour juger si les élections ont été crédibles ». Plus de 200 autres observateurs internationaux, pour la plupart choisis parmi les personnels d’ambassade, à Kaboul, ont également été mobilisés.
225 irrégularités ont été signalées
La présence d’observateurs internationaux, le jour du scrutin, n’est pas une nouveauté. Déjà, il y a cinq ans, l’Union européenne avait envoyé une mission pour suivre les élections afghanes, sous la direction de l’ancienne commissaire européenne Emma Bonino. En 2008, des missions similaires avaient été chargées de suivre les élections dans 10 pays du monde, dont le Rwanda et la Bolivie. D’une manière générale, ces observateurs doivent vérifier que le déroulement des élections satisfait aux exigences démocratiques.
Leur présence constitue un enjeu de taille en Afghanistan, où « la communauté internationale a dû se résoudre à abandonner l’idée d’élections libres et justes, pour simplement viser des élections crédibles », estime Sam Zarifi, directeur d’Amnesty International pour la zone Asie-Pacifique. Mais pour qu’un contrôle significatif du processus électoral puisse avoir lieu, encore faut-il que ces « témoins » soient déployés en nombre suffisant. Pour ce spécialiste, « les observateurs étaient trop peu nombreux dans un pays de la taille de l’Afghanistan ».
Dans les prochaines semaines, les observations des délégués internationaux feront l’objet de rapports plus complets. En attendant, 225 irrégularités ont été signalées à la commission électorale afghane. Parmi ces plaintes, une centaine émane des partisans d’Abdullah Abdullah, le rival le plus sérieux du président sortant Hamid Karzaï. Chargée d’arbitrer les contentieux en toute indépendance, la commission électorale est en réalité proche du président sortant, qui en a nommé lui-même les membres. Vendredi, la commission électorale annonçait que le dépouillement des votes était terminé. À cause des réclamations, les résultats officiels ne seront pas donnés avant le 3 septembre.
 
Charles Montmasson, La Croix, 23/08/2009





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